Nutex a souhaités s’inscrire dans cette dynamique en décryptant les pratiques sportives des Français et leur rapport à l’alimentation. Le résultat ? Une étude quantitative menée par l’ObSoCo auprès d’un échantillon représentatif de 1 000 Français en mars 2024 qui détaille la place du sport dans la vie de nos compatriotes et le rôle de l’alimentation dans leur pratique.
3 constats marquants sont à retenir de cette étude :
Retrouvez toutes les informations dans le communiqué de presse.
Une enquête de pratiques menée par l’AFDIAG (Association Française Des Intolérants au Gluten) et Nutex, auprès de plus de 400 médecins révèle des lacunes importantes dans le dépistage : près de 30 % des médecins oublient qu’une biopsie intestinale est nécessaire pour confirmer la maladie chez l’adulte, après un test sanguin initial, et 42,7 % pensent à tort qu’il faut mettre les patients au régime sans gluten, en cas de suspicion de maladie cœliaque, avant même d’avoir un diagnostic définitif.
Les symptômes de la maladie cœliaque ne se limitent pas aux troubles digestifs, ce qui complique le diagnostic. Les patients peuvent souffrir de douleurs articulaires, d’ostéoporose, de fatigue, de carences nutritionnelles ou d’aphtes buccaux récurrents. Le diagnostic tardif entraîne une errance médicale prolongée, avec 60 % des patients diagnostiqués plus de 6 mois après les premiers symptômes et seuls 25 % des patients ont réellement su de quoi ils souffraient au bout d’un an.
En 2024, la Haute Autorité de Santé (HAS) prévoit de mettre à jour ses recommandations sur le diagnostic et la prise en charge de la maladie cœliaque chez l’enfant et l’adulte. Ses travaux devraient débuter cette année et aboutir à de nouvelles recommandations pour les professionnels de santé en 2025.
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Face à l’absence de réglementation au niveau européen, un collectif de 18 pays s’est mobilisé à l’initiative de la France, afin de proposer un cadre de bonnes pratiques aux entreprises fabriquant des aliments et compléments alimentaires pour sportifs.
Barres énergétiques, boissons de récupération, gels en dosettes… De nombreux sportifs, amateurs ou professionnels, complètent leur alimentation en ayant recours à des aliments spécialement formulés pour répondre à leurs besoins avant, pendant ou après l’effort. Or, ces sportifs ont besoin de garantie quant à la qualité de ces produits spécifiques.
Pour répondre à ce besoin et faire face aux risques liés à des produits présentés frauduleusement comme des aliments pour sportifs, les consommateurs et fabricants européens concernés peuvent désormais s’appuyer sur la norme européenne NF EN 17444.
Elle a pour vocation d’orienter la mise en place de bonnes pratiques pour la recherche, le développement et la fabrication de denrées destinées aux sportifs. Elle constitue aussi l’aboutissement tangible d’une collaboration entre les industriels agroalimentaires et les parties concernées par la lutte contre le dopage.
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Spécialisées dans la fabrication d’aliments à destination de publics aux besoins très spécifiques, les entreprises du Secteur Diététique sont garantes de la sûreté et de l’efficacité de leurs produits.
Dans ce document d’une quarantaine de pages, vous retrouverez le détail des initiatives mises en place pour assurer au consommateur un produit – qu’il s’agisse d’une barre pour sportif, d’un pain sans gluten ou d’un substitut de repas pour contrôle du poids – parfaitement adapté à ses besoins et aux contraintes de son régime alimentaire.
Projets d’économies d’énergie, de réduction des emballages, de formation des collaborateurs, de bien-être au travail, fondations d’entreprise, soutien à la recherche scientifique ou au monde associatif, accompagnement du consommateur … loin de se limiter au produit fini, les entreprises du Secteur Diététique se mobilisent à tous les niveaux pour répondre aux enjeux du monde actuel.
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Le lundi 26 octobre 2020, le Mouvement sportif français a adressé une lettre ouverte au Président de la République, intitulée « SOS : SPORT EN DÉTRESSE », co-signée par 95 fédérations sportives. Elle relaie les inquiétudes grandissantes de ce secteur si important pour le maintien d’une bonne santé et d’une bonne immunité qui est de plus en plus sinistré par la crise Covid-19.
Les entreprises fabricantes de produits pour sportifs s’associent pleinement à cette démarche. Elles qui produisent des aliments spécifiquement conçus pour répondre aux besoins des sportifs sont entièrement dépendantes de la bonne santé du monde sportif. Depuis mars, elles sont confrontées – au même titre que les fédérations – à une situation critique où l’accès au sport et l’organisation de manifestations deviennent très restreints voire complètement impossibles. Après 8 mois en apnée, le souffle vient à leur manquer.
Tous les acteurs du sport en appellent donc aux pouvoirs publics pour demander un accompagnement dans cette période difficile afin de garantir que le secteur dans son ensemble puisse survivre à cette crise et continuer d’offrir aux Français des conditions de pratiques optimales et des produits sûrs et adaptés.
Cette étude, qui a porté sur 112 personnes souhaitant perdre ou contrôler leur poids, a donné des résultats significatifs: 79% des participants ont constaté des résultats après les 10 premiers jours de consommation avec des résultats qui ont continué à être observés sur le long-terme; mais aussi un impact positif pour 86% des consommateurs sur leur hygiène de vie (repas plus équilibré, moins de grignotage, plus d’activité physique).
Le secteur Diététique Adulte représentant notamment les aliments sans gluten, au sein du Syndicat National de la Nutrition spécialisée (SFNS) a fortement contribué à l’élaboration de ce document afin d’apporter une aide et une harmonisation sur la lecture et la mise en application de la réglementation des aliments sans gluten au niveau européen. Cette dernière a ainsi vocation à être largement partagée.
Figurant sur l’emballage des produits, cette norme permet ainsi aux sportifs d’identifier en toute transparence les produits sûrs car exempts de toutes substances dopantes et prévenant le risque de présence dite fortuite. Elle est le fruit d’un travail collectif mené en étroite collaboration avec les fabricants de denrées alimentaires pour sportifs.
Cet atelier, organisé par le SFNS, a eu pour objectif d’apporter un éclairage sur ce nouveau cadre réglementaire et surtout de discuter et mieux préparer des enjeux à venir. Pour cela, différents acteurs ont abordé la thématique sous les angles administratif, juridique et économique.
– Une ouverture prospective a été faite sur l’évolution de l’environnement réglementaire des produits de santé et de ses implications pour le SFNS avec Anne-Catherine Perroy, avocate et pharmacienne. Elle a notamment traité l’extension du champ de la loi DMOS, de la transparence à l’égard des professionnels de santé, de la publicité et remise d’échantillons, ainsi que du renforcement du pouvoir de sanction des autorités sanitaires (ANSM & ARS).
– Un point réglementaire a été présenté par le bureau 4A de la DGCCRF qui a participé à l’ensemble de la journée. Alice Stengel et Owen Cabon ont fait un état des lieux de la nouvelle réglementation pour la nutrition spécialisée, des grands changements apportés, des blocages éventuels et enjeux à venir pour chaque catégorie de produits. Nous avons retenu l’autorisation d’anticiper les actes délégués ADDFMS et laits infantiles avant leur date de mise en application ; ainsi que la volonté et l’implication de la DGCCRF à maintenir un cadre pour les aliments sous rapport.
– Une intervention d’Aymeric Dopter de la Direction de l’Evaluation des Risques de l’ANSES, qui nous a présenté les lignes directrices sur l’évaluation des ADDFMS afin de nous expliquer leur exigence en termes d’évaluation des produits. Un regard d’expert sur cette procédure, pouvant parfois sembler lourde pour les entreprises.
– Un point sur les chiffres clefs des secteurs et les tendances de marché en France par Elodie Sebag : évolution sur l’année en cours et éléments prospectifs.
– Une intervention juridique avec le cabinet Fourgoux & Associés nous présentant leur analyse sur les solutions envisageables pour des produits spécifiques tombant dans la réglementation des aliments courants, avec l’exemple des produits pour sportifs. Trois termes sont ressortis de cette présentation : loyauté, information du consommateur et adaptation.
– Et enfin une vision européenne de cette transition réglementaire par Aurélie Perrichet, de SNE. Qui nous a mis en évidence les divergences entre Etats Membres selon les sujets. La complexité de trouver des consensus et le manque d’alignement selon les catégories rendent ainsi leur défense encore plus difficile et montrent l’importance du poids politique sur ces sujets.
Une journée sous le signe de l’échange entre adhérents et intervenants sur les enjeux de la profession. Les discussions et difficultés soulevées lors de cet atelier seront bien entendues reprises par les groupes de travail Réglementation Nutrition.